Chez Andréhn-Schiptjenko, Tony Matelli en mode (presque) classique et en mode absurde. D'un côté, poursuivant dans la veine des Weeds, déjà vues à Paris, il attaque un sujet pour la peintre : le bouquet de fleurs dans un vase. De l'autre côté, il continue de se représenter en sculpture (et pour la première fois en peinture) la tête à moitié coupée et avec d'autres exemplaires de celle-ci qui lui courent sur le corps
TONY MATELLI : l'actualité des galeries
Patrick Javault, The Art Newspaper Daily Édition Française, October 23, 2023